Le fonctionnement du cerveau

1 janvier 2007

Le fonctionnement du cerveau

 

Le cerveau humain est un outil extraordinaire que nous n’utiliserions, selon certaines personnes, qu’à environ 10% de sa capacité dans les meilleurs cas. Cependant, le cerveau est mon ordinateur personnel qui a certaines fonctions avec plusieurs programmes dont quelques-uns ont rapport à ma survie et la survie de l’espèce.  Comprendre son fonctionnement, même inconscient, revient à dire de prendre davantage en main ma destinée en sachant comment pouvoir modifier certaines données qui régissent le fonctionnement de mon cerveau et qui peuvent affecter mon comportement et même ma santé.

Je reviens à un énoncé que j’ai déjà fait dans d’autres articles à savoir que mon cerveau conscient enregistre 2000 informations à la seconde alors que mon subconscient en enregistre 4 milliards. Ainsi, tous les sens sont mis â contribution pour capter de l’information soit le goût, le toucher, la vue, l’ouï et le sens olfactif. On voit tout de suite l’importance qu’à mon subconscient. Sachant cela il est important de mettre mon subconscient de mon côté pour me faire arriver ce que je veux de bénéfique dans ma vie. Souvent c’est via le subconscient que bon nombre d’information ont été enregistrée et m’ont amené à faire des interprétations qui m’ont amené du stress ou du surstress qui est à l’origine de la maladie.

En effet, lorsque je suis en surstress psychologique, le cerveau, depuis des milliers d’années, change le surstress psychologique en un stress biologique sous forme de maladies pour libérer le cerveau de 99% du stress qu’il avait auparavant, et ce, dans une optique de survie de l’espèce.

En effet mon cerveau a enregistré que lorsque je suis en surstress mon cerveau ne peut pas fonctionner adéquatement et cela peut mettre ma vie en danger. Ainsi, il a trouvé ce mécanisme de transféré le surstress dans la biologie pour laisser à mon ordinateur de 5ième, ordinateur super puissant, de pouvoir trouver, n attendant, une solution ou du moins être plus à même de pouvoir fonctionner, même avec la maladie, pour continuer ma vie.

Même, d’être conscient de mon entourage ne suffit pas à capter ce que j’appellerais « la réalité. Par exemple me yeux capte les fréquences qui vont du rouge au violet en passant par l’oranger, le vert, le bleu.  La somme de toutes ses couleurs me donnant du blanc. Cependant, l’infrarouge n’est pas visible avec mes yeux ordinaires et cette fréquence correspond à la lumière générée par de la chaleur. Ainsi les serpents qui captent l’infra rouge pourront « voit » de petits animaux la nuit par la chaleur qu’ils dégagent et qui est perceptible pour eux. De même, les ultrasons ne sont pas perceptibles par l’oreille humaine, mais les chiens par exemple peuvent percevoir ces sons très aigus. Alors lorsque j’utilise un sifflet à ultrason, même si moi je n’entends rien mon chien pourra l’entendre et répondre à mon appel.

C’est parce que je connais une partie du fonctionnement su cerveau que je sois aussi « à l’écoute » des informations « non rationnelles » que je peux percevoir lorsque je suis en consultation en psychothérapie avec une personne ou en atelier de croissance personnelle. Il s’est avéré souvent que les perceptions que j’avais ou informations que je recevais s’avérait pertinent pour pouvoir comprendre et trouver la clé de la guérison émotionnelle ou physique de la personne qui venait me voir. Souvent je ne savais pas moi-même de ce qu’il en était ou je ne voyais pas « consciemment » où cela me mènerait.  Mais avec l’expérience j’ai pu constater que cela s’avérait souvent un raccourcie pour pouvoir trouver la clé de la situation que nous cherchions à comprendre pour pouvoir la modifier.

Mon subconscient est une partie important de mon cerveau ainsi que ma partie non rationnelle.  C’est pourquoi, parfois, il est si long de trouver une solution lorsqu’on cherche « à comprendre » de façon rationnelle plutôt que d’essayer de comprendre avec le langage du cœur.

On a parlé du côté non rationnel du cerveau maintenant il est temps d’aborder un aspect très important du fonctionnement du cerveau. En effet le cerveau ne fait pas la différence entre :

Ce qui est réel

Ce qui est imaginaire

Ce qui virtuel ou

Ce qui est symbolique

Le cerveau prendra pour réel l’une ou l’autre des 4 situations. Ceci est une clé importante pour tout décodage biologique si l’on veut identifier la cause du conflit qui a amené la maladie à se manifester.

Pour illustrer la différence entre ces 4 éléments, je vais donner un exemple.

Réel : Je suis en plein bois et soudain je vois surgir devant moi un énorme ours sur ses deux pattes avec ces yeux menaçants avec un rugissement profond. Je vis alors un grand stress, car je sens ma vie en danger.

Imaginaire : Je suis dans une cabane en plein bois et soudain j’entends un bruit comme si on grattait à la porte et en même temps j’entends un rugissement profond.  Je vis alors un grand stress, car je crois que c’est un énorme ours qui gratte à ma porte et qui pourrait défoncer celle-ci et que je me retrouverais coincé dans ma cabane alors que je sentirais que ma vie serait en danger. Il se peut que ce soit un raton laveur qui grattait à la porte tandis que l’ours rugissait parce qu’il y avait un autre ours qui voulait s’emparer de la nourriture qu’il avait trouvée à l’extérieur et qu’un autre ours voulait s’emparer de la nourriture et que le premier ours a voulu manifester son autorité pour garder la main sur cette nourriture qu’il avait trouvée.  Il se peut qu’il n’ait pas été intéressé par ma présence dans la cabane.

Virtuel : Je suis au cinéma en train de regarder une aventure captivante qui se déroule en plein bois alors que tout à coup surgit de nulle part un énorme ours sur ces deux pattes et qui couvre toute la hauteur de l’écran avec ses yeux menaçants avec un rugissement profond. Je vis alors un grand stress, car je sens ma vie en danger. Il est bien entendu qu’il n’y a pas d’ours dans la salle et que c’est seulement une projection sur l’écran. Cependant, le cerveau prendra cela pour réel.

Symbolique : J’ai une petite entreprise d’alimentation dont je suis le propriétaire et qui est mon gagne-pain et je travaille fort pour arriver à mes fins de mois. À un moment j’apprends qu’un géant de l’alimentation a l’intention de venir s’établir tout proche de mon commerce. La nuit qui suit je fais un rêve où je me vois en plein bois et soudain je vois surgir devant moi un énorme ours sur ses deux pattes avec ces yeux menaçants et avec un rugissement profond. Je vis alors un grand stress, car je sens ma vie en danger. Symboliquement l’ours représente ce géant de l’alimentation qui risque de mettre mon gagne-pain en danger avec sa venue et me fait surgir ou activer une grande peur inconsciente.

On voit bien dans les quatre cas cet ours ou je sens ma vie en danger et qui me fait vivre un grand stress. C’est souvent cette partie symbolique, virtuelle ou imaginaire que les personnes ne saisissent pas combien cela a pu les affecter et qui peut être la cause du conflit qui a amené la maladie à se manifester. Ceux qui restent ouverts à cette possibilité peuvent se mettre à ressentir l’émotion que cela a pu créer dans leur vie et ainsi ouvrir la porte à la guérison.

Face à ce qui précède, nous allons parler du fonctionnement du cerveau en rapport avec les allergies. C’est en 1993, alors que j’étais avec un ami en visite chez un autre ami qui avait un terrain rempli d’arbre de boulot que j’ai eu une révélation.  Ce premier ami en visite me dit qu’il avait déjà été allergique au boulot, mais que maintenant cela lui avait passé. Alors, je lui ai demandé à partir de quel âge cela avait-il commencé. Il me dit que cela avait commencé à 18 ans. Je connaissant cette personne très sensitive de lui-même et de ce que les autres personnes pouvaient vivre dans leur vie.  C’était un homme qui aimait beaucoup travailler de ses mains, car cela l’aidait à rester branché à ce monde, lui que ses pensées se trouvaient très souvent dans le domaine spirituel. C’est alors qu’il m’apprit qu’à cet âge, il avait dû laisser son travail de menuisier (son boulot) qu’il aimait pour entrer en communauté. Cette frustration s’est traduite par une allergie au boulot (l’arbre) jusqu’à ce qu’il fasse un travail sur lui en psychothérapie qui a eu comme conséquence de faire disparaître cette allergie.

C’est alors que j’ai compris l’importance des homonymes dans l’interprétation du cerveau.  Les homonymes sont des mots différents qui ont le même son lorsqu’on les prononce par exemple : mots et maux.

Un jour dans le sud de la France j’ai rencontré une personne qui était allergique aux cyprès et aux peupliers. Après avoir parlé avec lui je me suis rendu compte que cette personne ne pouvait même pas tolérer de faire la file au cinéma pour aller s’acheter un billet… parce qu’il était si près (cyprès). Aussi il se sentait tout à fait inconfortable d’être dans une foule donc de se retrouver parmi le peuple (Peuplier).

Une amie me parla il y a plusieurs années que sa fille était allergique aux pêches lorsqu’elle a commencé à la nourrir avec de la nourriture. Je lui ai demandé ce qui s’était passé au moment de sa naissance. Elle dit qu’un jour alors qu’elle était à la maison et que ses eaux se sont crevées pour la venue de l’enfant elle aurait dit à son marie avec excitation : « Paul dépêche (des pêches) toi mes eaux viennent de crevé…). L’enfant avait enregistré le niveau de stress de la mère et de la frustration et l’a associé aux pêches.

Un homme est allergique aux roses et il ne peut y en avoir dans la maison à cause de ses réactions allergiques alors que son épouse aime beaucoup ces fleurs. On sait que les substances allergènes se promènent dans l’ait et son capté par la respiration principalement par le nez.  Un jour qu’il arrive à la maison, il voit dans la salle à dîner un magnifique bouquet de roses et se mets à éternuer violemment. Il demande alors à son épouse qu’est-ce qu’elle a pensé d’acheter des roses alors qu’elle savait qu’il en était allergique et la femme de répondre : « Mais mon chéri, ce sont des fleurs artificielles… ». Donc, le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et l’imaginaire qu’il prend pour réel dans ce cas-ci les fleurs artificielles qui sont prises pour réelle avec les conséquences qui vont avec.

Il est rapporté qu’un jour un homme s’est enfermé par mégarde dans un wagon frigorifique de chemin de fer. Quelques jours plus tard, on le trouva mort dans le wagon et l’autopsie démontra qu’il était mort gelé alors que le wagon frigorifique ne fonctionnait pas, mais que la personne devait ignorer. Ici le subconscient a joué le rôle « comme si » le wagon frigorifique fonctionnait.

Il y a aussi « le langage des oiseaux » aussi appelé « la langue secrète des philosophes». Disons qu’à la différence des homonymes ce sont souvent des mots qui sont proches de la phonétique du mot (des sons semblables) et qui ont une signification symbolique.

Par exemple :

Violoncelle /  viol et selle (matières fécales)

Diabète / dit à la bête

Ma chandelle devient :

ma chan d ‘elle > elle m’a chanté  > mon chant qui vient d’elle

Mon chandail

ma champ d’elle > mon champ qui vient d’elle

mâ(che) champ d’elle > mâche (laboure, etc.) son champ

mâ(che) chant d’ailes > le chant de ceux qui ont des ailes

Brigitte / briser le gîte

Thérèse / « tu es une rose », ‘tu es à l’aise dans le taire », « se taire pour être à l’aise »,

« tu es à l’aise sur terre », « reste sur terre »  etc.

Mittérrand (ancien président de la France)/ Le mythe errant

Giscardestin (ancien président de la France)/ Car c’est là où gît le destin

Plus d’info sont disponibles sur www.youtube.com sur le langage des oiseaux à :

http://www.youtube.com/watch?v=ubUl2Ho4nLU  par Gérard Athias

http://www.youtube.com/watch?v=l6el8ix2uww  par Daniel Forest (intéressant)

http://www.youtube.com/watch?v=Q3M_63tMIao  par Thibault Fortuner

Et il y a d’autres exemples à vérifier.

Voici quelques exemples de ce que l’on pourrait appeler « le langage des oiseaux ». Maintenant il y a aussi ce que l’on pourrait appelé « les mots guérisseurs ». En fait, ce sont des mots qui proviennent de l’étymologie du mot de la maladie. Un thérapeute a remarqué que lorsque parfois il arrivait à faire dire un certain mot à une personne concernant un conflit relié à la maladie que cette personne vivait des émotions et que cela pouvait enclencher un processus de guérison par la prise de conscience qui se faisait.

Nous avons incorporer dans la nouvelle édition du livre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » c’est mots guérisseurs qui sont écrits en caractères gras italiques. Comme exemple pour HÉMORROÏDES nous avons les mots : identité, afflictions, énième, anonymat, imposteur, subsisté, dérangé, complaisance, établie, qui font partie de ces mots. Avec  la lecture monosyllabique décrite au début du volume la personne qui lie ce texte a lu de chance de percuter sur une émotion qui a rapport au conflit en vue d’accéder au processus de guérison, car « le cerveau sait » que ces mots sont reliés à la maladie dans ce cas-ci les HÉMORROÏDES.

Nous avons tenu compte aussi du « langage des oiseaux » dans plusieurs maladies de la nouvelle édition (2007)  du livre Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies.

Notre cerveau est un outil extraordinaire et de bien comprendre son fonctionnement nous donne des moyens supplémentaires pour prévenir la maladie ou mieux trouver la solution au conflit qui est a l’origine de la maladie.