LA SANTÉ, un défi à relever

1 juin 2003

On a pu remarquer ces derniers temps, dans les médias électroniques et la presse écrite, combien souvent on parle de santé ou de soins de santé dans notre société et cela met en évidence les besoins ressentis par la population.  Les attentes sont souvent dirigées du côté des organismes ou du gouvernement afin qu’ils puissent nous aider à être en santé.

Qu’en est-il de notre réflexion et de notre responsabilité par rapport à notre santé physique ou mentale?  Il est important de voir toutes situations problématiques de santé physique comme étant une opportunité pour chacun d’entre nous de faire une prise de conscience.  Bien sûr, mon corps m’indique par là sous quel aspect j’ai la prise de conscience à faire; c’est ce que j’ai voulu mettre en évidence dans le volume « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » et les autres ouvrages du même genre.    Le cerveau fonctionne en transférant le surstress psychologique en un stress biologique sous forme de maladie afin de libérer le cerveau de ce stress et ceci, dans une optique de survie biologique de l’espèce.

Donc, à chaque fois que j’ai un malaise ou une maladie physique, mon premier réflexe devrait être celui de dire MERCI parce que mon cerveau a utilisé le meilleur mode de fonctionnement qu’il connaisse pour mettre toutes les chances de son côté afin que je puisse demeurer en vie.  C’est ce principe qui prévaut depuis des milliers d’années et qui fait en sorte que nous sommes maintenant plusieurs milliards d’êtres humains sur la planète.

Il n’en tient qu’à moi de prendre la décision à savoir quel moyen je vais utiliser pour régler ma situation de santé.  Il y a l’approche plus traditionnelle ou ce que l’on appelle ici la  médecine «  allopathique » avec les médecins, les médicaments, les chirurgies, etc., et aussi l’approche holistique (approche globale) qui inclut aussi des traitements sous forme énergétique et des voies telles que chiropractie, naturopathie, ostéopathie, homéopathie, etc..

Ce qui est important de savoir, c’est qu’il y a du bon dans chaque discipline, qu’elle soit allopathique ou holistique; cependant, il se peut que je veuille des résultats rapides et efficaces et, en ce sens, sous bien des aspects, la médecine allopathique conduit à cela parfois, mais cache souvent la cause qui a généré la maladie.  Dans une approche holistique, les résultats sont parfois plus lents et il peut m’arriver que je vive du découragement à cause du temps que cela prenne, mais je dois être bien conscient que lorsque la maladie apparaît dans mon corps physique, c’est parce qu’il y avait un débordement de stress relié à un conflit émotionnel qui ne pouvait faire autrement que se manifester.  Alors, il n’en tient qu’à moi de développer mon courage et ma détermination à trouver la solution et à faire la prise de conscience nécessaire pour m’amener à vivre plus d’harmonie et de bien-être.

Personnellement, je privilégie souvent deux ou trois approches simultanément pour aider à résoudre une situation donnée.  C’est à chacun d’entre nous de faire les recherches dans les domaines où je me sens attiré en vue de trouver ces solutions.  Plus je resterai ouvert, plus je serai guidé vers l’approche qui me conviendra le mieux.